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cocktail gagnant !!!

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Le blended learning : cocktail gagnant de la formation            JDN

                

        Mélanger l'apprentissage digital et l'enseignement en présentiel peut rapporter gros aux entreprises et aux apprenants.                        

 

Dans les entreprises, les MOOC et les COOC connaissent depuis quelques années un développement fulgurant. Pourraient-il mettre au placard l'apprentissage traditionnel en présentiel où un formateur dispense ses connaissances à un petit groupe d'apprenants ? Pas vraiment. Lorsque ces deux modalités pédagogiques s'allient, elles forment un cocktail bien plus pertinent : le blended learning.

Moins cher pour les entreprises...

Le blended learning permet d'éviter les inconvénients d'une formation entièrement digitalisée : "Pour une entreprise, concevoir une formation strictement digitale, peut vite devenir très cher. Il faut écrire des scripts, faire des tournages vidéo, installer une plateforme. Le blended learning fait sensiblement baisser les coûts de formation", affirme Arnaud Blachon qui avec son frère Guillaume, a fondé et dirige Upgraduate, un des leaders français de la formation en blended learning.

"Le blended learning permet d'éviter de mobiliser un service pendant une ou plusieurs journées"

"Il ne faut pas se voiler la face, le blended learning permet aux entreprises de gagner du temps et de l'argent", confirme Sophie Rosier, directrice de la Digital Academy d'Axa qui a formé 70 000 personnes depuis 2014 grâce au blended learning. "C'est un format qui permet d'éviter de mobiliser tout un service pour se former dans une salle pendant une ou plusieurs journées", reprend-elle.

Au delà de l'aspect économique, les entreprises s'y retrouvent car le blended learning permet aux salariés d'être plus nombreux à valider les formations. "Nous observons que le taux de réussite dans les formations est plus élevé sur du blended learning que sur du 100% MOOC ou du 100% présentiel. Il est donc normal que les entreprises investissent dans cette forme d'apprentissage", explique Arnaud Blachon.

... et plébiscité par les apprenants

Côté apprenants, cette modalité pédagogique semble appréciée. "Les chiffres sont éloquents. Chez Axa, nous demandons toujours à nos collaborateurs de noter les formations sur une échelle qui va de 0 à 5. Pour les formations entièrement présentielles, la moyenne est de 4,1. Pour le blended learning, nous oscillons entre 4,7 et 4,9 ce qui est exceptionnel", s'enthousiasme Sophie Rosier.

Sur le Cooc data science d'Axa, les apprenants assimilent la théorie et échangent sur un forum entre deux sessions en présentiel. © Axa

Il est vrai que le blended learning est particulièrement en phase avec les attentes et les besoins des salariés du XXIème siècle. Pour la génération Y et surtout pour lagénération Z, qui se caractérise par sa digitalisation et sa volonté d'autonomie, le blended learning est du pain béni. Il permet d'apprendre la théorie à son rythme sur son ordinateur voire son smartphone, puis de passer à la pratique en présentiel.

"Le blended learning correspond aux nouveaux usages. C'est pourquoi, nos formations sur la culture digitale et la Big data sont en blended learning. Par exemple pour apprendre à coder sur Python, nous avons des vidéos que chacun utilise comme bon lui semble. Puis par la suite, les apprenants passent trois jours de formation intensive où ils ne font que pratiquer puisqu'ils connaissent déjà les bases", explique Sophie Rosier.

"Ce qui est formidable avec le blended learning, c'est que le parcours de formation devient entièrement individualisé. Chacun peut s'auto-former avant le présentiel ou mettre en pratique ses connaissances entre deux cours en présentiel afin de ne pas laisser dépérir ses connaissances", explique Antoine Amiel à la tête de LearnAssembly entreprise spécialisée dans la conception de formations en blended learning. Toutefois, l'apprenant n'est pas livréà lui même derrière son écran. La majorité des plateformes digitales possèdent un animateur dédié ou un forum d'échange de bonnes pratiques entre pairs.

Des freins à lever

Malgré l'enthousiasme suscité par le blended learning, tous les salariés ne sont pas prêts à suivre des formations comportant du e-learning. C'est particulièrement le cas des personnes peu digitalisées qui ne sont pas habituées à ce mode d'apprentissage. "Pour ce type de cible, il suffit de faire du blended learning à majorité présentielle et de l'accompagner au quotidien dans la formation", estime Antoine Amiel.

"La formation devant s'effectuer sur le temps de travail, certains syndicats voient d'un mauvais œil une modalité qui permet d'apprendre de chez soi" 

Autre problème, la crainte de certaines entreprises à l'égard de formations ludiques et digitales qui ne rentrent pas dans les habitudes. "Il y'a peu de temps, nous avions conçu une formation blended learning avec des vidéos pour une entreprise de 3 000 salariés. Mais celle-ci n'autorisait pas les collaborateurs à regarder des vidéos sur le lieu de travail. La vidéo était vue comme un outil de loisir uniquement…", se rappelle le dirigeant de LearnAssembly.

Selon les experts interrogés, le principal obstacle au blended learning viendrait des syndicats. La formation professionnelle devant s'effectuer sur le temps de travail, certains représentants syndicaux voient d'un très mauvais œil une modalité pédagogique qui permet d'apprendre de chez soi. Antoine Amiel, qui considère cette préoccupation totalement légitime, conseille de procéder de la façon suivante : "Il est nécessaire d'intégrer les instances représentatives du personnel en amont de l'appel d'offre, puis de les associer au projet. Par la suite, il faut faire comprendre aux managers que les salariés sont en droit de se former sur leur temps de travail. Au top management, aux ressources humaines voire au service communication de faire passer le message pour réussir le management des apprenants".


Débrayage au magasin......

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MERS-LES-BAINS (80) Débrayage au magasin Auchan         

Publié le                                         

  


Les salariés ont manifesté calmement devant l’une des entrées du magasin.
Les salariés ont manifesté calmement devant l’une des entrées du magasin.
Pendant une heure, de 10 à 11 heures, des salariés d’Auchan, sur la zone commerciale à l’entrée de Mers-les-Bains, ont débrayé, mercredi 29 juin. L’opération sera reconduite ce même jour de 15 à 16 heures.

Ce mouvement national a été lancé par la CFTC,syndicat majoritaire de l’enseigne de grande distribution. Philippe Paris, délégué syndical mersois, explique : « Lors des NAO (négociations annuelles obligatoires), la direction est arrivée avec ses propositions sans laisser aucune possibilité de discussions. Nous réclamons de réelles négociations, avec un échange, un dialogue. » La direction n’a consenti qu’une augmentation de 0,5 % des salaires, alors que les employés estiment avoir fait «de réels efforts ».

1er mai

Le conflit porte également sur la récupération du 1er mai qui tombait un dimanche. Le tract du syndicat interpelle la direction : «  Vous n’avez pas saisi la portée hautement symbolique de cette date qui cristallise le ressentiment général de vos salariés ».

 

Bel article , très bien résumé!

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OUVERTURE DU DIMANCHE ! TRACT !

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POUR RAPPEL

Notre magasin est OUVERT ce dimanche

rappel de l'Accord Organisation et aménagement du temps de travail signé par 2 organsations syndicales

 CFTC et SEGA-CFE-CGC   le  10 avril 2013

Titre 1 , article 6-1 '....le travail du dimanche s'effectue sur la base du volontariat'

 

tract dimanches supprimes

Emmanuelle Duez : le Jeune du Jour

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Le Jeune du Jour – Emmanuelle Duez

tiré du blog  Nous sommes

Emmanuelle Duez

Emmanuelle Duez

 

 

Serial entrepreneuse qui a déjà crée deux organisations à moins de 30 ans: le Boson Project et Women’s Up. Emmanuelle est une jeune dynamique qui cherche à donner une nouvelle image de la génération Y, plus intrépide et courageuse. Dans ses nombreuses interventions, elle s’évertue à démontrer le changement de paradigme dans la vie professionnelle des Millenials qui recherchent de l’épanouissement et du bien être dans l’entreprise. 

A quoi ressemblera l’entreprise de demain? Le rêve a-t-il sa place dans le monde du travail? Peut-il devenir un vecteur d’engagement durable des salariés? Telles sont certaines questions auxquelles Emmanuelle cherche à répondre. Selon elle, avant d’être une structure hiérarchique, l’entreprise se doit de devenir un espace de confiance entre employés et clients, capable d’évoluer dans un état instable pour s’adapter aux mutations.

Ainsi, il est fondamental pour cette entreprise de comprendre les besoins, les motivations de la nouvelle génération qui arrive sur le marché du travail. A la différence de leurs ainés, les Millenials ne se fixent pas des objectifs de longévité (rester 5,7,10 ans et gravir les échelons dans la même structure) mais d’épanouissement. 50% des métiers de demain n’existent pas encore aujourd’hui et et ces jeunes doivent se construire dans un monde professionnel en mutation constante.

Comme le dit Emmanuelle dans une de ses interviews: « Les opportunités à saisir sont nombreuses. Et il y a aussi une part d’adrénaline à ne pas savoir de quoi demain sera fait. Avant, on construisait sa vie dans la sécurité. Aujourd’hui, on la construit sur un lit de précarité. Ce sont les nouvelles règles du jeu. »

Nous Sommes aime Emmanuelle car elle ne se contente pas de pointer du doigt l’incompréhension qu’il peut exister entre les Millenials et leurs ainés. Elle l’analyse, la décrypte et cherche à trouver des solutions innovantes. Grace au Boson Project, elle aide les entreprises à devenir un terreau d’épanouissement et de créativité. Au sein de Women’s Up, elle dépoussière le féminisme. Et pour cela, nous avons envie de l’encourager du fond du coeur.


 

 

Les écarts de salaire restent importants......

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Les écarts de salaires restent importants en France

                                

  • Par          le 27/06/2016 à 16:31  LE FIGARO  

                            

Les femmes gagnent 25% de moins que les hommes

Les femmes gagnent 25% de moins que les hommes                                                                    Crédits photo : François BOUCHON/Le Figaro

            

Le salaire moyen des cadres est trois fois plus élevé que celui des employés et des ouvriers. Le salaire net moyen des Français est de 1696 euros par mois.

En 2013, selon l'Insee, le revenu salarial net moyen a été en France de 20.350 euros par an. Soit l'équivalent de 1696 euros par mois. Mais cette moyenne masque des disparités importantes. Les femmes perçoivent en moyenne un revenu salarial de 25% inférieur à celui des hommes. Cet écart est d'autant plus marqué qu'on avance en âge. Parmi les salariés percevant un revenu un peu supérieur à la moyenne, l'écart de salaires entre les hommes et les femmes est de 10% chez les 25-29 ans et de 22% chez les 55 ans et plus. Pis, chez les salariés au bas de l'échelle, un quart des femmes de 25 à 29 ans perçoivent un salaire de 21% inférieur à celui des hommes.

En 2013, le revenu salarial a diminué de 0,4%

Le revenu salarial des cadres, qui atteint en moyenne 40.000 euros par an, est quant à lui trois fois élevé que celui des employés et des ouvriers. Les 10% des cadres les mieux payés gagnent 67.900 euros par an, soit 5658 euros par mois. Par ailleurs, les écarts de salaires sont plus importants dans le privé - les 10% les mieux payés gagnent 16,9 fois plus que les 10% les moins payés - que dans le secteur public ( le rapport y est de 8,7). Ce sont à la fois les différences de temps de travail et celles concernant les salaires horaires qui sont plus importantes en entreprises. Les salaires augmentent aussi avec l'âge: les 50-54 ans gagnent 3,6 fois plus que les moins de 25 ans.

En 2013, le revenu salarial moyen a reculé de 0,4%. Il a diminué de 0,9% par an de 2009 à 2012, alors qu'il progressait de 0,7% par an en moyenne de 1995 à 2009. L'effet de la crise est donc net. Cependant, le salaire n'est pas la seule ressource des Français. S'y ajoutent les revenus de l'épargne et les transferts sociaux. Le pouvoir d'achat, tel que mesuré par l'Insee, a reculé en France en 2011 (-0,4%), 2012 (-1,5%) et 2013 (-1%). Mais il est reparti à la hausse en 2014 (+0,1%) et 2015 (+1,1%).

AUCHAN va déployer la solution de paiement en ligne Fivory

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Auchan va déployer la solution de paiement en ligne Fivory

Morgan Leclerc | Publié le 23/06/2016 LSA

L’application Fivory, qui permet de payer avec son mobile et de regrouper cartes de fidélité et coupons, sera testée dans quelques hypermarchés Auchan à partir de novembre, et étendue au premier semestre 2017 de manière plus massive.

D'ici la fin de l'année, les clients de quelques hypermarchés Auchan pourront payer avec leur mobile via l'application FivoryD'ici la fin de l'année, les clients de quelques hypermarchés Auchan pourront payer avec leur mobile via l'application Fivory© vanessa buhrig / emilie mathe nicolas

Auchan Retail France et Oney Banque Accord viennent de rentrer au capital de la solution de paiement mobile et de relation client Fivory. Ce qui va signifier, très concrètement, que les clients d’Auchan pourront bientôt bénéficier de ce dispositif de "wallet" (portefeuille électronique), qui permet la dématérialisation du paiement et du parcours d’achat. Après téléchargement de l’application, et identification, les utilisateurs pourront payer en présentant leur portable, via un QR Code généré pour l’occasion. Fivory veut se distinguer d’Apple Pay par le versant CRM et la prise en compte des bons de réduction et cagnotte, et la dématérialisation des tickets de caisse. Un test sera mené dans les hypers Auchan à partir de novembre. L’ensemble des hypermarchés et les achats sur Auchan.fr seront concernés par Fivory à la fin du premier semestre 2017.

Une guerre des solutions de paiement

Avec Fivory, Auchan dégaine à son tour sa solution de paiement mobile, quelques jours après l’annonce de la collaboration entre Carrefour et Apple Pay. Oney, la branche bancaire d’Auchan, avait lancé il y a quatre ans le système Flash’N Pay, qui va disparaitre pour être intégré au système Fivory. L'objectif est maintenant de convaincre les clients d’utiliser Fivory, et notamment les porteurs de carte de fidélité Auchan (8 millions de personnes) et les utilisateurs de l’application MyAuchan (1,2 million de téléchargements), devant un paysage concurrentiel qui se renforce en matière de paiement mobile. Leurs données pourront être intégrées à Fivory pour disposer d’un seul outil, la brique de paiement restant liée à cette nouvelle application, appuyée depuis son lancement en 2014 par le Crédit Mutuel, MasterCard et Total.

Pour Auchan Retail France (qui regroupe les hypermarchés, supermarchés, la proximité et les différents sites de vente en ligne dont le drive), et un espace client omnicanal sera créé en complément dans quelques mois. Et d'autres nouveautés sont attendues, avec un test prochain de l’authentification biométrique en matière de paiement.

 

La démonstration d'utilisation

 

...Récupe ...........du 1 er MAI !

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INFORMATION PRATIQUE :

La récupération du Dimanche 1 er MAI devra être PLANIFIEE

entre le 1 er Août 2016 et le 28 Mai 2017

 

 

 

TRACT BRAVO-page-0

 

 

..°°°...°°°.....................


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CnXobaHW8AAJYiG

attentat

 

Léon Coignet, Juillet 1830 ou Aux Ténèbres enfin succède la clarté…, v. 1830, lithographie, Paris, Bibliothèque nationale de France

CCE Extraordinaire téléphonique du 13 juillet 2016

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Courrier de Mr SIMON ......

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Pour celles et ceux qui étaient en CP au moment de ce courrier .....

NOUS AVONS OBTENU

LA RECUPERATION DU 1 ER MAI

 

 

2016 07 05 Courrier Gilles suite CCE 29 06 2016-page-0

1 er mai

La grande distrib .....çà bouge !

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GREENWEEZ.........ils sont partis à fond dans le digital .... 

Et NOUS AUCHAN , ??? ...........à l'ère du WIFI.............. 

 

 

Carrefour résiste au premier semestre 2016 [Chiffres]

MAGALI PICARD |
publié le 28/07/2016

Carrefour souffre en Chine et en France, mais assure au Brésil et dans le reste de l'Europe. Doté de fondamentaux toujours solides, le groupe devient une "énorme plate-forme alimentaire, avec des produits sincères et de qualité", dixit Georges Plassat, son patron.

Georges Plassat aime faire le show,, ce qu'il a encore fait ce matin à la présentation des résultats semestriels de Carrefour.Georges Plassat aime faire le show,, ce qu'il a encore fait ce matin à la présentation des résultats semestriels de Carrefour.© Ch. Lebedinsky/Carrefour

 

"Voilà un semestre relativement perturbé par des éléments exogènes à notre activité". Par cette première phrase, Georges Plassat, le patron de Carrefour, a livré son explication des résultats publiés ce matin. Par exogènes, il n'entend pas les attentats -le premier semestre était bouclé il est vrai le 30 juin-, mais, en vrac, "les inondations, le manque de carburant, les manifestations et...l'impact climatique". La météo, si capricieuse avec un hiver doux et un printemps pluvieux, expliquerait donc le ralentissement de l'activité en France. Avec des ventes à 17,1 milliards d'euros, en baisse de 2,3% (-0,5% en comparable), certains analystes y ont vu un recul des parts de marché, qui se traduit dans les chiffres publiés hier par Kantar. Carrefour perd en effet 70 points de base dans sa part de marché en France, "la douzième baisse consécutive dans le pays", souligne Morgan Stanley. Ce qui n'émeut pas le moins du monde Georges Plassat. "Cela fait quatre ans que je sens qu'on me souffle dans la roue, mais je ne vois pas le doublement.Les parts de marché sont mesurées par téléphone auprès de 10 000 personnes quand Carrefour compte 12 millions de clients". Voilà qui est dit.Pour le reste, le chantier entrepris dans les magasins Dia a inévitablement pesé sur l'activité. 412 magasins exactement ont été convertis à ce jour, dont 260 sur le seul premier semestre. A 312 millions d'euros, le résultat opérationnel courant déçoit, en baisse de 3%.

Merci l'Europe et le Brésil Mais il n'y a pas que la France dans un groupe qui réalise la moitié de son chiffre d'affaires à l'étranger. "Notre stratégie est la bonne en Europe, s'est félicité Georges Plassat. Notre affaire a montré une bonne résilience". De fait, au global, l'activité, à 36,2 milliards d'euros,progresse de 2,2%, à taux de changes constants, soit la huitième hausse consécutive. Le résultat opérationnel courant augmente de 5,3%. Et en Europe donc, le retour à la croissance, entamé en 2015, se confirme avec une belle envolée de 2,2% à taux de changes constants et à périmètre comparable. Charles Desmartis, le patron de la filiale de Carrefour au Brésil depuis trois ans, ne pensait sûrement pas être félicité en direct par le big boss devant une assemblée d'analystes. "Voilà quelqu'un qui était au contrôle de gestion et qui devient un vrai patron de la distribution".Les résultats du Brésil ont de quoi faire pâlir la France avec un bond de 11,5% du chiffre d'affaires au premier semestre. L'Argentine ne démérite pas avec +22%. Au Brésil, les hypermarchés continuent d'être rénovés et la déclinaison digitale vient d'être lancée. 

La Chine, talon d'Achille de Carrefour De l'autre côté du globe, les affaires vont moins bien pour le géant de la distribution. -5,4% de chiffre d'affaires à magasins comptables, un résultat opérationnel négatif à -7 millions d'euros : le chemin est ardu en Chine. Georges Plassat a bien sûr donné son explication. "Avec la France, c'est l'un des chantiers les plus lourds. Nous avons un réseau de magasins exceptionnel et nous essayons de faire bouger le modèle d'une part avec de nouveaux produits alimentaires, d'autre part avec un parcours client plus court". Et de prédire une relance en 2017. "La consommation n'est pas encore repartie en Chine, mais elle est devant nous. Notre activité va en profiter".

Le "gros éléphant de mer se transforme""Est-ce que le vieux a intégré le digital dans sa stratégie d'épicier ?". Par une pirouette, Georges Plassat (67 ans) a précisé que Carrefour faisait 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires sur la Toile. Dans son escarcelle : vins-privés.com, croquetteland (pour les animaux) et, depuis quatre jours, Greenweez, un site de produits bios. La diversification ne fait que commencer. "Carrefour va rester le leader de la distribution, une énorme plate-forme alimentaire avec des produits sincères, de qualité, orientés vers le bien-être". Par "sincères", on ne saura jamais ce que Georges Plassat a voulu dire.

Infographies

Les ventes en France en berne

 

Et difficiles en Asie

 

Des performances en Amérique latine

 

La moitié des investissements pour la France

....Pression exerçée sur les salariés....

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bEAUCOUP de travail pour les équipes  CFTC ......

ILS S ATTACHERAIENT AUX CONDITIONS DE TRAVAIL DE LEURS FOURNISSEURS QU'A LEURS PROPRES SALARIES??!! 

Et ils se vantent d être l'enseigne Elue meilleure de l'année....

LES SALARIES DE CHEZ EUX DOIVENT RIRE ou PLEURER

 

 

 

 

 

Conditions de travail : les fruits de la discorde chez Lidl

MARIE CADOUX |   LSA
Publié le 29/07/2016

Le distributeur se fait épingler par l’ONG Oxfam Allemagne au sujet des conditions de travail dans les plantations de bananes et d’ananas. 

magasin Lidlmagasin Lidl©© Lidl

« On est mal patron, on est vraiment mal ». La copie TV actuellement sur les écrans de Lidl ne fait assurément pas sourire Oxfam Allemagne. L’ONG vient en effet de publier un rapport qui dénonce les conditions de travail  dans les plantations de bananes et d’ananas d’Equateur et du Costa Rica. L’enquête menée de janvier à avril 2016 auprès des travailleurs de la plantation « Matias » en Equateur et de « Finca Once » au Costa Rica pointe que « de graves entorses à la loi sont courantes ». En cause l’exposition  des travailleurs à de grandes quantités de pesticides sans protection adéquate, la méprise des droits syndicaux, des salaires insuffisants  et des journées de travail qui peuvent durer jusqu’à 12 heures.

Premier investisseur média de la distribution avec 209 M€ dépensées au cours du premier semestre 2016, selon les données de Kantarmédia, l’enseigne allemande tente depuis plusieurs mois de tourner le dos au hard-discount et de gagner ses titres de noblesse dans l’univers des produits frais. Le distributeur travaille également à faire évoluer sa réputation en tant qu’employeur dont l’image est régulièrement écornée (pression exercée sur les salariés, méthodes de management…).  Pour l’ONG Oxfam Allemagne, le chemin à parcourir de Lidl est visiblement encore long et doit mener jusqu’à ses fournisseurs.

Contactée par LSA, l’enseigne affirme  être « attachée à la production des produits basés sur une démarche éthique et sociale » et n’hésite pas à rappeler les différentes normes internationales  et certificats auxquels sont soumis ses principaux fournisseurs (Del Monte, Pineapple Company, AZF France, Fruit Essential, Canavese SA…). «Nous veillons à ce que nos différents fournisseurs soient à même de justifier une véritable politique sociale au sein des plantations couvrant les conditions de travail ainsi que les aspects culturels et sociaux », assure Lidl.

NOUVEAU RECUL ...........

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A QUAND UNE VRAI CAMPAGNE DE PUB TV POUR AUCHAN ?

POUR CONTRER LECLERC LIDL .......CASINO..... 

Nouveau recul des dépenses de produits de grande consommation en juin et juillet 2016

MARIE CADOUX |   LSA
Publié le 28/07/2016

Pas d’effet Euro sur les dépenses des produits de grande consommation. Pour la période allant du 13 juin 2016 au 10 juillet 2016,  les données de Kantar Worldpanel soulignent un nouveau recul des dépenses de produits de grande consommation. E.Leclerc est le distributeur qui a le plus recruté au cours de cette période 

l'enseigne E.Leclerc est celle qui a recruté le plus de foyers au cours de la p 7. l'enseigne E.Leclerc est celle qui a  recruté le plus de foyers au cours de la p 7. © LSA / CC

Avec une baisse en valeur de 1,2%, la période 7 2016 allant de 13 juin 2016 au 10 juillet 2016 confirme un ralentissement des dépenses des produits de grande consommation. Un ralentissement en phase selon KantarWorldpanel avec l’évolution cumulée depuis le début de l’année (-0,1%), ainsi que l’évolution du CAM (seulement +0,6%).

Pour la période 7 2016, les dépenses des ménages français en produits de grande consommation et frais libre-service sont en baisse de 1,2% en circuit généraliste.

Selon les données de Kantarworld Panel, les ventes sont toujours portées par le e-commerce. Les ventes on line enregistrent en effet un nouveau gain de part de marché (+0,5 point) sur la période et atteignent ainsi 5,6% de parts de marché .La proximité est également bien orientée avec une progression de +0,4 point de parts de marché.

En ce qui concerne les distributeurs,  E.Leclerc enregistre un gain de 0,5 point avec une part de marché de 20,7%. Sur cette période, l’enseigne apparaît comme le grand gagnant avec des clients plus nombreux (+208 000 nouveaux foyers) et plus fidèles.

Forte d’une présence soutenue en télé et en prospectus, Lidl gagne près de 317 000 nouveaux clients au cours de la même période et enregistre ainsi un gain de 0,3 point pour atteindre une part de marché de 5,3%.

Quant au groupe Casino, il enregistre un gain de +01 point à 11,6% de parts de marché


Revalorisation des salaires minimaux ..... à partir du 1 er Août.....

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CHEZ AUCHAN , nous ne sommes pas concernés par cette nouvelle hausse de salaire des salaires minimaux .....

La grille salariale est ' supérieure".....à celle de la grande distribution...

la CFTC AUCHAN France veille et se bat au quotidien pour FAIRE  AUGMENTER les SALAIRES

La CFTC CSFV  a signé cet ACCORD DE BRANCHE

 

 

 

WK-CE, Informations et Solutions pour les Comits d'entreprise

RÉMUNÉRATION

Les salaires minimaux de la grande distribution relevés au 1er août 2016

Les salaires minimaux de la grande distribution relevés au 1er août 2016

Un avenant n° 57 du 25 mai 2016, déposé le 6 juillet à la DGT, revalorise les salaires minimaux de la grande distribution au 1er août 2016. La branche compte 603 000 salariés en équivalent temps complet.

La Fédération du commerce et de la distribution (FCD) et les fédérations syndicales CFE-CGC, CFTC et FO, ont signé le 25 mai 2016, un avenant n° 57 relatif aux salaires minimaux de la CCN du 12 juillet 2001 du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire. À noter également la conclusion, comme prévu par l’avenant n° 55 sur l’insertion et la promotion professionnelles (v. l’actualité n° 17099 du 10 juin 2016), d’un avenant n° 56 consacré au financement des centres de formation des apprentis.

Une augmentation de 0,6 %

La négociation salariale portait sur l’évolution des salaires minimaux fixés en dernier lieu par l’avenant n° 50 du 11 février 2015, rendu obligatoire le 30 juin 2015 (v. l’actualité n° 16869 du 7 juillet 2015). La revalorisation, décidée par les signataires de l’avenant n° 57, est de 0,6 %. Le préambule de l’avenant souligne que cette négociation concerne une branche, dont les partenaires sociaux « constatent avec satisfaction une consolidation de l’emploi en 2014, avec plus de 603 000 salariés (en équivalent temps plein) », confirmant le redressement mesuré en 2013.

La nouvelle grille de salaires

La nouvelle grille des salaires horaires, des salaires mensuels et des SMMG (salaires minima mensuels bruts garantis) est fixée au 1er août 2016. • Grille horaire : la grille démarre au-dessus du montant du Smic (9,67 € au 1er janvier 2016), puisqu’au niveau 1, durant les six premiers mois, le taux horaire est de 9,68 €, puis, après six mois, de 9,69 €. Les taux horaires du niveau 2 sont fixés à 9,69 € les six premiers mois, puis à 9,76 €. Au niveau 8, ce taux horaire est portéà 20,482 €. • Grille mensuelle : durant les six premiers mois, les salaires mensuels débutent à 1 468,17 € et 1 469,68 € aux niveaux 1 et 2. Ils sont respectivement portés à 1 469,68 € et à 1 480,30 € après six mois à ces niveaux. Au niveau 8, le salaire mensuel atteint 3 106,50 €. • Forfaits définis en jours : les montants des salaires minimaux annuels garantis pour 216 jours de travail par an (incluant la journée de solidarité), sont portés à 32 750 € au niveau 7 et à 44 030 € au niveau 8. • Grille des SMMG : les montants mensuels avec temps de pause (5 % de 151,67 heures, soit 7 heures 58) sont les seuls montants à comparer au salaire réel brut, précise l’accord. Ils débutent à 1 541,54 € et 1 543,13 € durant les six premiers mois aux niveaux 1 et 2, puis chacun de ces deux montants est portéà 1 543,13 € (contre 1 533,58 € précédemment) et à 1 554,28 € (précédemment 1 544,73 €) après six mois. Ils incluent la rémunération des pauses.

Avenant n° 57 du 25 mai 2016 sur les salaires minimaux dans la grande distribution www.wk-ce.fr/actualites/upload/grande-distribution-avenant-salaires-mini-25mai2016.pdf

Liaisons Sociales Quotidien, 29/07/2016

Grille salariale ...au 1 er Aout 2016 Avenant N°57 ......

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Ps: les salariés AUCHAN ne sont pas concernés mais peuvent comparer.... 

 

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Grille salariale AUCHAN

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salaires auchan grille

 

VOUS REMARQUEREZ la grille s'arrête au niveau 4 ?!!?

 

 

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