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NEGO CFTC sur le CPA (Formation)

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Coup d'envoi des négociations sur le compte personnel d'activité   
Le Blog - Social   blog CFTC PARIS
08-12-2015

Syndicats et patronat devaient débuter, lundi 7 décembre, des discussions sur un dispositif qui prendra effet le 1er janvier 2017.

C’est un sujet un peu brumeux sur lequel vont devoir plancher le patronat et les syndicats. Lundi 7 décembre, ils engagent une négociation interprofessionnelle sur le compte personnel d’activité (CPA), présenté par François Hollande comme « la grande réforme sociale du quinquennat ». Ce dispositif, qui vise à couvrir les risques rencontrés par l’ensemble des actifs tout au long de leur carrière, sera mis en place le 1er janvier 2017. D’ici là, il faut lui donner un contenu, ce que les partenaires sociaux vont s’efforcer de faire. Leur tâche s’annonce compliquée car ils n’ont pas les mêmes vues sur ce dossier, et les délais pour en discuter sont très serrés.

A l’heure actuelle, le CPA n’est qu’une coquille vide dont les contours ont été dessinés dans la loi sur le « dialogue social » du 17 août. Le texte se borne à affirmer que « chaque personne » quel que soit son statut (salarié, travailleur indépendant, etc) disposera d’un compte rassemblant dès son entrée dans le monde du travail, « les droits sociaux personnels utiles pour sécuriser son parcours professionnel ».

De quels droits parle-t-on ? Comment seront-ils utilisés ? Quid de leur financement ? De nombreuses questions restant ouvertes, le gouvernement a demandé aux partenaires sociaux d’en débattre. Dans la feuille de route qu’il leur a remise, il précise qu’un projet de loi est en cours d’élaboration et que celui-ci « tiendra compte des résultats de la négociation ». Le texte devrait être soumis au Conseil d’Etat début février 2016 et présenté en conseil des ministres un mois après, indique-t-on dans l’entourage de la ministre du travail Myriam El Khomri.

Le Medef « pas demandeur »

Patronat et syndicats sont invités à faire des propositions, en particulier sur « les principes » devant régir le fonctionnement du CPA, et sur son « contenu », lorsqu’il entrera en vigueur en janvier 2017. Il est d’ores et déjà acquis que le dispositif intègrera le compte personnel de formation (CPF) et le compte personnel de prévention de la pénibilité (CPPP). Il prendra la forme d’un « portail numérique » récapitulant les droits engendrés par l’exercice d’une activité professionnelle (retraite, assurance-chômage, etc.). A charge pour les partenaires sociaux – s’ils le souhaitent – de préconiser l’ajout d’ « éléments complémentaires ».

Les syndicats se montrent volontaires ; « C’est l’occasion d’avancer sur notre projet de statut du travailleur avec des droits attachés à la personne », affirme Joseph Thouvenel, vice-président de la CFTC.

 

 

 


....même lorsque l'on s'apelle AUCHAN

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«Le e/m/f-commerce d’aujourd’hui, ne tolère pas l’à peu près, même lorsque l’on s’appelle Auchan»

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ZOKS-Pierre-Aurele-Martin-Une

Par Pierre Aurèle Martin, fondateur de ZOKS Media.

 

Aushopping.com est le nouveau centre commercial digital de Immochan, la foncière du groupe Auchan. Cette dernière gère 96 centres commerciaux en France, 375 dans le monde, et fait face, comme ses concurrents, à une baisse de leurs fréquentations. Si les hypermarchés du groupe s’en sortent plutôt bien, c’est en revanche plus compliqué pour les locataires de ses centres commerciaux qui louent à prix d’or leurs surfaces commerciales.

Immochan s’attache donc depuis de nombreuses années à endiguer cette baisse de fréquentation. D’abord avec un centre commercial 3D en 2010 dont le seul mérite fût d’exister et désormais avec une nouvelle version de Aushopping.com, lancée discrètement en avril 2015.

Le principe de Aushopping est simple, proposer une plateforme Web to store aux 400 enseignes présentes dans ses centres commerciaux. L’intention est louable et jusqu’ici, cela semble une excellente idée. Le projet Aushopping, présente néanmoins quelques erreurs de jeunesse. Il permet aussi de constater que le déploiement de Web to Store à une échelle nationale soulève des problématiques aussi passionnantes que complexe.

Moins d’ambition, plus d’innovation

Le premier objectif de Aushopping.com est de fournir aux consommateurs les promotions et les animations des centres commerciaux Immochan. C’est l’animation du Web to Store et nous pouvons relever quelques manquements aux bases du web marketing, notamment une stratégie de contenu peu lisible. Au travers de neuf onglets, dont certains en doublon, vous parviendrez à obtenir des flyers de promotions ou à localiser les toilettes de votre centre commercial (à conditions d’avoir préparer votre trajet chez vous puisque la carte du centre commercial n’est ni dans l’application, ni dans la version mobile). Des textes ridiculement courts, des illustrations sorties tout droit des catalogues print… Les pages Facebook remplissent aussi bien si ce n’est mieux ce rôle et ont le mérite d’avoir déjà de l’audience.

Le second objectif d’Aushopping est de vous présenter les produits que vous pourrez trouver dans votre centre commercial ! Enfin du Web to Store, le consommateur pourra faire ses courses dans l’ensemble du centre commercial depuis son canapé. Sauf que:

«Cet article n'est pas disponible à la vente sur Aushopping.com mais contactez votre boutique au 05.45.96.05.02 afin d'en connaitre la disponibilité. Pour le mémoriser, ajoutez-le à votre liste d'envies.»

Ou encore :

«Cet article est disponible à la vente sur Aushopping.com mais contactez votre boutique au 05.17.85.00.01 afin d'en connaitre la disponibilité.»

Comble du comble, même pour les produits que vous pouvez acheter en ligne, vous n’avez aucune option vous permettant de choisir le retrait en magasin. Vous pouvez préparer votre liste d’achat mais Aushopping ne vous garantit pas que le produit est effectivement disponible en boutique et le Web to Store est donc simplement inexistant.

Ni la mise en avant des services, ni la partie Web to Store ne sont convaincantes et elles n’apportent que peu – voire aucune – plus value aux consommateurs. Le communiqué de presse SQLI, en charge du développement, annonce «une nouvelle expérience du Shopping», laquelle?

Un problème de SI

La question est donc de savoir pourquoi, en près de deux ans de développement, Immochan et SQLI n’ont pas été en mesure de proposer une expérience Web to Store convaincante. La réponse est simple: lorsque vous avez 150 enseignes différentes dans un centre commercial, vous avez 25 systèmes d’informations différents, 30 versions différentes, 50 configurations différentes et 50 enseignes qui n’ont aucun SI d’envergure. Il tient donc de la mission impossible de tous les interconnectés.

Lorsque vous avez conçu la plateforme d’abord pour vos SI, il faut donc faire du développement personnalisé pour synchroniser les produits, les stocks et surtout les commandes. Cela représente des budgets importants et ne permet plus ni à Aushopping, ni aux enseignes d’évoluer de façon indépendante.

Ensuite sur le plan marketing qui demande une collaboration étroite entre Aushopping et les enseignes. Chaque marque dispose de sa propre stratégie marketing, de ses priorités et de ses systèmes de collectes de données. Lorsque vous demandez à la direction d’Aushopping si Aushopping est une Marketplace, la réponse est non. Pourtant, ils rencontrent exactement la même problématique ! Pour avoir des produits il faut de l’audience et pour avoir de l’audience, il faut des produits. Tant qu'Aushopping n’aura aucune audience solide à proposer, les enseignes favoriseront leurs propres canaux de distribution à celui d’Immochan.

Finalement, absolument rien ne favorise la collaboration entre les différentes enseignes et Aushopping et à court terme, rien ne la favorisera suffisamment pour proposer une expérience Web to Store satisfaisante. Le groupe Auchan porte aussi une responsabilité dans cette problématique. Car le groupe Auchan, c’est aussi Décathlon, Leroy Merlin, tout simplement Auchan.fr et plusieurs autres enseignes. Nous déplorons qu’aucun de ces SI ne communique avec l’autre et il est difficile de demander aux autres de faire ce que vous mêmes ne faites pas.

Enfin, puisqu’il est toujours plus facile de critiquer et que nous croyons beaucoup à un vrai centre commercial digital, voici quelques pistes de réflexions.

Le centre commercial digital est local

L’omnicanal c’est bien, c’est tellement bien que tout le monde en fait. Dans la pratique, c’est assez rarement le cas et il ne suffit pas d’utiliser les solutions Hybris pour en faire. Pourtant, quoi de mieux qu’un centre commercial pour faire de l’omnicanal?

Les promotions visibles sur Aushopping, outre le fait qu’elles ne soient pas spécifiques à la plateforme, ne propose aucun mécanisme de tracking. Il est donc impossible de savoir quels clients ont pour origine Aushopping ce qui n’aide pas dans les négociations ultérieures avec les enseignes.

Toujours sur ces promotions, elles ne vous permettent pas de voir dans la partie e-commerce quels sont les produits concernés et encore moins d’en bénéficier via un achat en ligne (pour les rares produits disponibles). Nous l’avons vu, les stocks en boutiques ne sont pas affichés et il donc difficile de savoir si une promotion pourra être effectivement appliquée.

L’application mobile est strictement inutilisable lorsque vous n’avez pas de connexion Internet. Il n’est pourtant pas rare d’avoir un signal faible voire sans data dans un centre commercial. Conclusion, si la couverture réseau du centre commercial n’est pas optimale, tout le travail de préparation du shopping devient caduque et les datas collectées sur place sont inexistantes.

Si le consommateur veut contacter une enseigne, il ne peut que passer par le téléphone ce qui ne facilite pas le tracking. Il aurait été de bon augure, en 2015, de proposer d’autres modes de communication plus facile à suivre. Mais là encore, Aushopping et SQLI se sont probablement heurter au problème des systèmes d’informations différents, dont les CRM. Il y a néanmoins des intermédiaires, comme une simple adresse email ou un formulaire de contact…

La correction de l’ensemble de ces problèmes devrait emmener Aushopping vers du multicanal, prérequis à la mise en place de l’omnicanal.

Let’s (re)focus

Peu importe l’ampleur du projet, il faut souvent se recentrer sur la problématique de base: augmenter la fréquentation des centres commerciaux Immochan. En attendant de s’attaquer à la synchronisation des SI, mieux vaut se concentrer sur les outils qui peuvent s’en passer.

Par exemple proposer des hot-spots Wi-Fi dans l’ensemble du centre commercial, accessible gratuitement avec son identifiant Aushopping. Avec un maillage intelligent, il y a de nombreuses données pertinentes à en tirer. Cela aura aussi le mérite de rendre l’application Aushopping utilisable et fluide dans les centres commerciaux.

Utiliser des beacons ou du GPS indoor. Les services de localisation des boutiques d’enseigne ne sont disponibles que sur la version grand écran de Aushopping et celle-ci manque de clarté. L’une des attentes du consommateur d’aujourd’hui est de pouvoir trouver une boutique rapidement, depuis son téléphone et soyons fou, recevoir des promotions lorsqu’il passe devant une vitrine.

Le développement de la réalité virtuelle et des caméras 360° permet d’imaginer dès aujourd’hui des usages innovants et pertinents dans les centres commerciaux, nous aurons d’ailleurs l’occasion d’en reparler. La grande distribution devrait être précurseur en la matière, c’est un terrain de jeu idéal!

Enfin, le regain de fréquentation des centres commerciaux passe aussi par de nouvelles propositions d’animations, moins axées sur la consommation. Nous pouvons citer des espaces détentes, cultures, multimédia et bien d’autres, accessibles gratuitement. Transformer ces centres commerciaux en autres choses que des arènes de la Consommation est un défi majeur pour l’ensemble des acteurs de la grande distribution.

Tous ces services soulèvent finalement un inconvénient majeur, et c’est d’ailleurs celui-ci qu’Aushopping a tenté de résoudre: il demande une implication et un travail très local. Vous ne pouvez pas déployer des hot-spots Wi-Fi dans 96 centres commerciaux rapidement, idem pour les beacons, idem pour les animations. Et quoiqu’il arrive, vous ne pouvez pas forcer les enseignes locales à utiliser les outils que vous leurs proposez, encore moins à communiquer dessus.

Il est important de comprendre que le digital n’est plus une révolution, c’est un outil. Et un outil demande de la formation puis du temps à leurs consacrer. La valeur ajoutée doit donc être évidente.

Un long travail de formation…

Les directeurs des magasins Auchan sont à peine formés au webmarketing et les directeurs des centres commerciaux probablement pas beaucoup plus. Quand aux gérants des franchises des centres commerciaux, permettez-nous d’avoir de sérieux doutes. Ainsi, vous pourrez leur proposer tous les outils Web to store du monde, s’ils ne sont pas convaincus de leurs intérêts en amont, vous perdrez votre temps. De même, l’ouverture d’une plateforme e-commerce nécessite la création puis l’animation d’une communauté digitale. Si tous les responsables d’enseignes dans un centre commercial avaient une page Facebook correctement entretenue, la fréquentation du dit centre augmenterait de façon non négligeable.

Vous pourrez nous retoquer que c’est le travail des directions marketings des enseignes et non celui d’Immochan. Nous vous répondrons que l’un n’empêche pas l’autre et que, encore une fois, les enseignes du groupe Auchan ont elles mêmes une large marge de progression en la matière. D’ailleurs, les loyers des enseignes sont indexés sur la fréquentation du centre, c’est donc un investissement pour Immochan.

Et ces Systèmes d’Informations, on abandonne?

Toutes ces belles paroles ne résolvent en rien le problème de synchronisation des différents SI. Immochan avait pour ambition de déployer Aushopping rapidement (moins de 10 ans quand on parle de la grande distribution) dans ses plus de 300 centres commerciaux. Il a donc créé un système adaptéà ses systèmes dans lequel il a injecté, plus ou moins de force, le contenu des enseignes partenaires. Avec les résultats que nous venons de voir, personne n’aime que l’on lui force la main et il y a donc très peu de contenu de qualité.

En terme de marketing, il est contre productif de penser que Immochan, depuis son siège Lillois puisse proposer du contenu adaptéà la clientèle de tous les centres commerciaux. Mais, une fois les bonnes personnes formées, vous pouvez leurs proposer des outils. Des templates d’emailing Aushopping, des applications Facebook personnalisables, des outils de tracking promotionnels, du push… Immochan peut ensuite récupérer ce matériel marketing original et pertinent afin de le concentrer sous sa marque Aushopping et, pourquoi pas, dans son application.

En terme de Web to Store, il est tout à fait possible de créer une structure vide, sur laquelle viennent se brancher les différents système d’information des enseignes. C’est une marketplace et le business modèle est largement éprouvé. Si une enseigne n’est pas prête à vendre ses produits, laisser lui le temps de se préparer. Aushopping a tout intérêt à présenter correctement dix produits qui se vendront plutôt que de forcer l’intégration de 1000 qui ne se vendront pas. Le e/m/f-commerce d’aujourd’hui, ne tolère pas l’à peu près, même lorsque l’on s’appelle Auchan.

Pour le partage des données, la problématique est la même et la mise en place d’une bête API permettrait aux enseignes de ne pas se sentir lésées mais au contraire, de bénéficier de l’expertise et de la force de frappe d’Immochan.

En conclusion, Immochan avait de bonnes intention et de bonnes idées. L’erreur qui a pu être commise est de vouloir centraliser la création du contenu. Nous pensons que l’arrivé d’un Web to store convaincant dans les centres commerciaux passe par une décentralisation locale de ces contenus. Libre à Immochan de créer l’outils adapté, en prenant toute la mesure de ce que cela implique en terme d’éducation. Il ne reste plus qu’à voir si la nouvelle direction d’Immochan sera à la hauteur du challenger Web to Store.

Revlorisation du SMIC

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Revalorisation du SMIC 2016

14 décembre 2015 - Pantin
La CFTC pour un coup de pouce significatif et la mise en place d'un revenu de dignité
Ce 14 décembre, la CFTC a été entendue par la Commission nationale de la négociation collective au sujet de la revalorisation du SMIC pour 2016. Lors de sa déclaration, la CFTC a réitéré ses demandes au gouvernement d'accorder un coup de pouce significatif au SMIC et d'ouvrir des discussions dès 2016 sur la mise en place d'un revenu de dignité.   Le SMIC, qui est actuellement de 1140 € net par mois, ne permet pas aujourd'hui de vivre correctement. En effet, selon l'Observatoire National de la Pauvreté et de l'Exclusion Sociale, qui s'appuie sur une enquête 2014-2015 menée par l'IRES et le CREDOC, une personne seule doit gagner entre 1400 € et 1600 € nets par mois et un ménage (2 adultes et 2 enfants) 3300 € nets par mois pour vivre décemment. Cette précarisation des salariés au SMIC a un effet direct sur leur santé ou même sur le logement, et cela est intolérable pour la CFTC ! Regrettant les conclusions du rapport du groupe d'experts qui préconise de ne pas donner de coup de pouce au SMIC, la CFTC a demandé au gouvernement d'agir.   Car donner un vrai coup de pouce au SMIC en 2016, permettrait de redonner du pouvoir d'achat pour relancer la croissance, d'améliorer la santé et par conséquent de réaliser des économies indispensables pour la Sécurité sociale, et surtout de redonner de la confiance en la valeur travail.   Enfin pour aller plus loin, la CFTC a demandéà l'instar de l'organisme qui est en place au Royaume-Uni d'élargir l'actuel groupe d'experts en y intégrant les partenaires sociaux. Ce nouveau groupe élargi pourrait alors travailler dès 2016 avec le gouvernement sur la notion de revenu de dignité, que la CFTC appelle de ses vœux depuis de nombreuses années, notamment à travers son statut du travailleur et, dans cette logique, introduire une notion d'utilité sociale du travail à laquelle il est préféré la notion de profit immédiat. Pour endiguer la paupérisation de la société, ce juste revenu permettrait à un salarié et à sa famille de vivre dignement en subvenant à ses besoins élémentaires en matière de logement, de santé, de transports ou encore d'accès à la culture.

MUTUELLE entreprise : + 3% d'ajustement supplémentaire de cotisation

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+3% d'ajustement supplémentaire  de cotisation

+ 1,5% d'indexation tarifaire liée du plafond de la Sécurité sociale + 1,5% d'ajustement pour la réserve 

À partir du 1er janvier 2016, une couverture complémentaire santé collective obligatoire (mutuelle d’entreprise) doit être proposée par l’employeur du secteur privéà tous les salariés, n’en disposant pas déjà, en complément des garanties de base d’assurance maladie de la Sécurité sociale

D’ici le 1er janvier 2016, l’employeur doit souscrire un contrat auprès d’un organisme assureur de son choix, après mise en concurrence, et en assurer le suivi.            

En cas d'employeurs multiples, un salarié déjà couvert par un contrat collectif de l'un de ses employeurs peut refuser de souscrire aux autres contrats. Il doit justifier de cette protection par écrit auprès des autres employeurs.

                Le contrat doit remplir les conditions suivantes :            

  •                 la participation financière de l’employeur doit être au moins égale à 50 % de la cotisation (le reste à la charge du salarié),
  •                 le contrat doit respecter un socle de garanties minimales (panier de soins minimum),            
  •                 la couverture est prévue pour l’ensemble des salariés et leurs ayants droit, ou pour une ou plusieurs catégories d’entre eux (définies à partir de critères objectifs, généraux et impersonnels),

 

 

AVENANT MUTUELLE JANVIER 2016 (1)-page0001

 

 

...de la part de .....

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La nouvelle année est l'occasion de célébrer l'amour,

l'amitié et toutes les bonnes choses de la vie.

Prenons le temps d'apprécier ce que cette année nous a donné

et ce que la nouvelle est sur le point de nous apporter!

Bonne année chère lectrice, cher lecteur!

 

voeux equipe cftc

AUCHAN DRIVE lance une application mobile

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Auchan Drive lance une application mobile destinée aux Windows Phone

François Deschamps |
Publié le 30/12/2015
Le groupe Auchan a mis en ligne sur le store d'applications de Microsoft, une application mobile permettant de faire ses courses depuis un smartphone, et de les retirer auprès du drive le plus proche.
Les utilisateurs de l'application peuvent retirer leurs achats auprès de 100 drives en FranceLes utilisateurs de l'application peuvent retirer leurs achats auprès de 100 drives en France

C'est une nouvelle -et petite- étape dans le mobile franchie par Auchan. Le distributeur vient d’annoncer le lancement d’une application pour faire ses courses, à destination des terminaux équipés du système d’exploitation de Windows. Le groupe se félicite d’avoir développé"une application simple, rapide fluide et intuitive, et qui permet de ne plus faire la queue au supermarché". Baptisée « Auchan Drive », l’application permet en effet à ses utilisateurs de passer commande en ligne pour ensuite retirer les achats réalisés auprès du drive le plus proche. D’ores et déjà disponible sur le store de Microsoft, et gratuite, cette application ouvre un accès à plus de 8 000 produits et 100 drives en France.

Pour Jérémie Cohen, responsable du développement Mobile d’Auchan Drive, il devenait indispensable de se développer sur Windows Phone : "Nos clients équipés de Windows Phone étaient de plus en plus nombreux à nous réclamer l'application Auchan Drive. Une des ambitions d'Auchan Drive est de permettre à ses clients de faire leurs courses de manière optimale et à tous moments. En effet, la part de commandes réalisées par le biais de nos applications mobiles ayant presque doublé au cours de l'année 2015, c'est donc tout naturellement que nous avons choisi de développer cette application pour répondre aux attentes des utilisateurs de Windows Phone et accompagner la croissance du m-commerce pour Auchan Drive."

L’application embarque diverses fonctionnalités, plutôt typiques au regard de l'usage auquel est destinée l’application, à savoir la création des listes de courses en quelques clics, la visualisation des anciennes commandes et des achats fréquents – l’idée ici étant de faire gagner du temps à l’utilisateur -, l’affichage de la liste des drives à proximité, ou encore la possibilité de scanner les produits avec le mobile pour en commander de nouveaux. Un pas de plus en direction de l'objectif de dynamisation du chiffre d'affaires mobile initié par le groupe en fin d'année 2014

Travail du dimanche.....

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Travail du dimanche : les grands magasins proposent une nouvelle copie aux syndicats

JULIE DELVALLÉE | lsa
Publié le 14/12/2015

LÉGISLATION - LOIS Devant le rejet des salariés du BHV, qui ont été consultés sur des conditions pour le travail du dimanche au mois de novembre 2015, les grands magasins ont revu leur copie. Ils proposent désormais une majoration de 100% du salaire pour tous les dimanches, et non plus seulement pour les cinq premiers. 

Les salariés du BHV avait rejeté, le week-end du 21 novembre 2015, les compensations proposées pour le travail dominical.Les salariés du BHV avait rejeté, le week-end du 21 novembre 2015, les compensations proposées pour le travail dominical.
Un accouchement difficile… Le travail dominical, rendu possible dans le cadre de la loi Macron, reste compliquéà mettre en place. En jeu : les conditions de rémunération pour ce jour de travail supplémentaire dans le commerce. L’Union des grands commerces du centre-ville (UCV) a ouvert depuis plusieurs mois une négociation de branche avec les organisations syndicales (CFTC, CFDT, CFE-CGC, CGT, FO) relative au travail dominical. Rejeté une première fois après la consultation des salariés du BHV le 23 novembre dernier, l'UCV a repoussé la version finale de l’accord au profit d’une «version clarifiée».

Ce nouveau texte pourrait entraîner la création de 2 400 postes de travail au total dont la moitié directement par les grands magasins et l’autre moitié par les partenaires commerciaux, c’est-à-dire les prestataires des marques présents dans ses magasins. Environ 50% de ces postes seront en contrat à durée indéterminée.

 Au terme d’échanges «difficiles», selon le communiqué de l’UCV, la fédération a mis sur la table un projet d’accord comportant trois volets : un volet financier, un volet relatif au volontariat et à la conciliation vie privée / vie professionnelle et un volet emploi-formation.

Une rémunération double pour TOUS les dimanches

Le changement majeur intervient pour la rémunération de ce travail dominical. En effet, une majoration de 100% de la rémunération pour tous les salariés travaillant le dimanche est prévue dans le texte, l'UCV proposait initialement un doublement du salaire pour les 5 premiers dimanches travaillés. Autres avantages pour compenser ce jour travaillé : l’attribution de 5 jours de repos compensateur, la prise en charge des frais de garde des enfants à hauteur de 30 euros par dimanche. S'agissant des transports, l’abonnement des salariés travaillant le dimanche sera rembourséà hauteur de 60 %.

Par ailleurs, des mesures destinées à préserver le volontariat et la conciliation de la vie privée et de la vie professionnelle ont étéénoncées. Déjà mis en place dans la première proposition, il concerne le plafond maximum de 15 dimanches travaillés par an en faveur des salariés travaillant occasionnellement le dimanche. Autre disposition : un accord explicite préalable doit émaner du salarié, un délai de prévenance d’un mois en cas de modification du calendrier des dimanches travaillés doit être garanti par les employeurs. Le salarié doit pouvoir changer d’avis s’il refuse in fine de travailler ce septième jour ou s’il s’avère indisponible en cas d’évènement impromptu.

Des étudiants à la rescousse 

Enfin, le dernier pan de cette proposition concerne l’emploi et la formation. Les 90 sites concernés s’engagent à mettre en place un programme d’adaptation et de formation en faveur de tous les salariés nouvellement embauchés. Dans le cadre d’un accord de partenariat, les enseignes proposent en outre aux écoles ayant des cursus « métiers de la vente » de recruter 100 étudiants par an sélectionnés par les universités et les écoles sur des critères sociaux et de motivations, dans les équipes dédiées au travail dominical. «Nos enseignes ont consenti un effort exceptionnel et nous avons répondu à la plupart des demandes des organisations syndicales de la branche. Nous soumettons ces propositions à la signature des partenaires sociaux. Nous estimons, avec les partenaires sociaux, que le dimanche n’est pas un jour comme les autres et nous avons beaucoup avancé sur les garanties du volontariat et la rémunération », assure Claude Boulle, président exécutif de l’alliance du commerce.

Le projet d’accord doit encore obtenir le feu vert des représentations syndicales pour être mis en application.

AUCHAN fait évoluer son programme de fidélité

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Auchan fait évoluer son programme de fidélité[B. Merlaud]

    4 Janvier 2016 Linéaires       

 

 

 

 

Auchan revient à un cagnottage classique de 5% sur ses MDD alimentaires, tous les jours. Le distributeur met fin à une mécanique originale mais diversement appréciée, qui ne concernait que le trad.

Ces dernières années, Auchan a testé de nombreux changements de son programme de fidélité.

Jusqu'en 2012, les clients de l'enseigne récupéraient 5% en bon d'achat sur leurs achats de MDD. En 2013, ce dispositif a été remplacé par une offre montée à 10%, mais seulement sur des rayons "tournants".

Face aux réactions négatives des clients, le distributeur a rapidement, la même année, augmenté encore l'avantage, à 25%, cette fois en le limitant à"une liste de produits Auchan du quotidien".

En 2014, une nouvelle mécanique a fait son apparition : 5% en cagnottage sur les rayons boucherie-volaille et boulangerie-pâtisserie, tous les jours. Une offre différenciante et percutante si les produits choisis sont onéreux (boucherie, pâtisserie), beaucoup moins sur une simple baguette de pain.

Les clients qui ont pris l'habitude de faire leurs "pleins de viande" chez Auchan ont toutefois dû composer avec un processus d'une étrange complexité : remise d'un bon papier à présenter dans les dix jours qui suivent, lors d'une seconde visite, pour valider enfin la cagnotte sur le compte de fidélité.

Depuis le 2 janvier 2016, les clients d'Auchan retrouvent donc les 5% en bon d'achat, crédités sur la carte, pour plus de 7000 produits Auchan : alimentaire (hors alcools et frais-emballé), bébé, animalerie.

Les détenteurs d'une carte bancaire Auchan, eux, bénéficient toujours de 10% de cagnottage sur les MDD le mardi.

 


Une année charnière s'ouvre pour la grande distribution française

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Dans l'Hexagone, bilan ventes fin d'année instructif.

Dans l'Hexagone, le bilan des ventes de fin d'année sera particulièrement instructif. - Photo Shutterstock

Une année charnière s’ouvre pour la grande distribution française

Philippe Bertrand / Chef de service adjoint | Le 04/01 à 07:00, mis à jour à 19:29 Les Echos

La faiblesse des émergents pénalise les groupes internationaux. En France, les ventes doivent encore être soutenues par des prix bas.

L’année qui s’ouvre sera pleine d’enjeux pour les distributeurs français. Tour d’horizon des grandes questions qui vont se poser dans le secteur pour 2016.

Les pays émergents vont-ils se redresser ?

La dégradation de la note du Brésil, début septembre, par Standard & Poor’s – au rang BB+ – a officialisé la fin, ou du moins la pause, de la croissance brésilienne. Plus grave : cette crise de croissance s’est transformée en crise politique, la présidente Dilma Rousseff se retrouvant menacée de destitution. Une situation qui freine la mise en œuvre des réformes nécessaires à la relance économique. Dès septembre, les cours de Bourse de Casino et, dans une moindre mesure, de Carrefour, respectivement numéro un et numéro deux de la distribution dans le pays, ont fléchi. Les dirigeants de Casino, qui réalise 58 % de son chiffre d’affaires à l’international, essentiellement au Brésil et en Colombie, ont aussitôt réagi. D’abord, en regroupant les activités sud-américaines dans la filiale colombienne Exito, ce qui va permettre de dégager 145 millions d’euros de synergies. Par ailleurs, Via Varejo, la branche de magasins de meubles et d’électroménager, très touchée, a entamé une restructuration drastique, même si les intérêts économiques réels de  Casino dans cette filiale ne sont que de 14 %.  Carrefour, moins affecté, a tout de même dû repousser l’introduction en Bourse de sa filiale brésilienne.

Le même Carrefour doit aussi enrayer la baisse de l’activité de ses magasins chinois. Depuis plusieurs trimestres, la filiale locale annonce des chiffres d’affaires en baisse à surfaces comparables. 

Pour inverser la tendance et rester sur ce marché jugé stratégique par le PDG, Georges Plassat, Carrefour a entrepris de changer de modèle. Certains magasins ont été fermés. Les ouvertures sont plus sélectives. La proximité commence àêtre développée. Surtout, le groupe a choisi d’internaliser sa logistique en créant des bases régionales pour contourner les grossistes locaux. Et pour contrer la montée en flèche de la vente de produits de grande consommation sur Internet, notamment par le groupe Alibaba, Carrefour a créé une activité e-commerce.

L’activité en Chine est aussi cruciale pour  Auchan, dont la filiale cotée à Hong Kong, Sun Art, génère l’essentiel de ses bénéfices. Auchan, qui est aussi très présent en Russie, pays qui va subir pleinement en 2016 l’impact de la baisse du prix du pétrole et de l’embargo décrété par les Européens…

la consommation tiendra-t-elle en France et la guerre des prix va-t-elle continuer ?

La panéliste IRI a noté que, en novembre, les ventes de produits de grande consommation stagnaient en volume dans l’Hexagone et ne progressaient que très légèrement en valeur (+ 0,2 %). Nielsen indiquait, de son côté, une évolution du marché en valeur en cumul depuis le début de l’année de 1,1 %, portée par une légère inflation et l’attrait des consommateurs pour des produits de meilleure qualité. Le marché tient, donc, mais le bilan des ventes de fin d’année sera instructif sur la tenue de la consommation. Et le redressement général des enseignes du groupe Casino (Géant, Leader Price, Franprix, Monoprix) montre que la concurrence sur les prix demeure cruciale. La baisse du prix du pétrole et des matières premières laisse également à penser que la pression sur les tarifs va se poursuivre. D’autant que des regroupements à l’achat ont été effectués en France, comme à l’international (Auchan avec Metro, Casino avec Dia, etc.). La concurrence va rester d’autant plus effrénée que Leclerc continue sa marche en avant. Selon Kantar Worldpanel, Leclerc a encore  « bousculé la concurrence » et gagné 0,6 point de part de marché en novembre, portant son total à 20,5 % et talonnant Carrefour. Casino et Lidl ont aussi progressé. Les autres ont souffert…

La vague de concentrationS se poursuivra-telle ?

Après s’être rapprochés à l’achat, Auchan et Système U doivent maintenant s’allier sur le front commercial,  Système U prenant en charge les supermarchés de l’ensemble et Auchan les hypers.

Mais le dossier, qui devait être initialement tranché avant la fin 2015 n’a toujours pas été notifié formellement devant l’Autorité de la concurrence et Auchan a entre-temps revu sa gouvernance. L’échec du rachat de Mr. Bricolage par Kingfisher, la maison mère de Castorama, prouve que les alliances entre groupes intégrés et réseaux indépendants sont parfois délicates à mener à bien… Dans le non-alimentaire, la Fnac a convaincu le conseil de Darty d’accepter une fusion. Reste à en caler les modalités et à la faire approuver par les actionnaires. Une chose est sûre, cependant : la faible croissance économique française et l’absence de relais à l’international poussent à la concentration dans le commerce. 

Philippe Bertrand, Les Echos

AUCHAN et SYSTEME U notifient leur alliance auprès de l'Autorité de la concurrence

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Exclusif : Auchan et Système U notifient leur alliance auprès de l’Autorité de la concurrence

Sylvain AUBRIL | | Publié le 05/01/2016 LSA
C’est officiel. Selon nos informations, les groupes Auchan et le groupement Système U ont notifié leur alliance auprès de l’Autorité de la concurrence, qui va pouvoir examiner le rapprochement. Il faudra sans doute encore quelques mois avant qu’elle ne donne son approbation.
Le président de l'Autorité de la concurrence, Bruno Lasserre. Très impliqué dans le rapprochement Auchan et Système U
Le président de l'Autorité de la concurrence, Bruno Lasserre. Très impliqué dans le rapprochement Auchan et Système U
Nouvelle étape pour  Auchan  et  Système U . La plus grande alliance depuis longtemps entre deux groupes de distribution, le groupe Auchan et ses affiliés, et le groupement coopératif Système U, a été officiellement notifiée à l’Autorité de la concurrence, le dernier jour de l’année, le 30 décembre 2015. Selon l’Autorité, “l’opération consiste en la création […]

Smic et plafond de la Sécurité sociale

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Ce qui change au 1er janvier 2016  tiré du blog cftc paris

lnl8d9dbelnkeqgy8jyhn9j6ixi.gifSmic

Le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) augmente de 0,6 %. 

À partir du 1er janvier 2016, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) est revalorisé de 0,6 %. C'est ce qu'a précisé la ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue social dans un discours devant la Commission nationale de la négociation collective lundi 14 décembre 2015. 
Le nouveau montant horaire brut est portéà 9,67 € au 1er janvier 2016 (contre 9,61 € depuis le 1er janvier 2015), soit 1 466,62 € bruts mensuels sur la base de la durée légale de 35 heures hebdomadaires 

(contre 1 457,52 € bruts, précédemment). Le Smic avait été revalorisé de 0,8 % au 1er janvier 2015. 

Rappel :
Le Smic correspond à un salaire horaire en dessous duquel, légalement, aucun salarié de plus de 18 ans ne peut être rémunéré. 


Plafond de la sécurité sociale

Le plafond de la sécurité sociale est revalorisé de 1,5 % par rapport au plafond 2015. 

À partir du 1er janvier 2016, le plafond de la sécurité sociale est revalorisé de 1,5 % par rapport au plafond 2015. C’est ce qu’indique un arrêté publié au Journal officiel du jeudi 24 décembre 2015. 

Il est donc portéà : 

•    38 616 € en valeur annuelle (contre 38 040 € en 2015) ;
•    3 218 € en valeur mensuelle (contre 3 170 € en 2015) ;
•    177 € en valeur journalière (contre 174 € en 2015) ;
•    24 € en valeur horaire (comme en 2015).

Réévalué chaque année en fonction de l’évolution des salaires, ce plafond est utilisé pour le calcul de certaines cotisations sociales et de certaines prestations de la Sécurité sociale ainsi que dans le calcul du montant du remboursement des frais de santé de certaines mutuelles. 

Merci......

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pour Votre FIDELITE !!!!!!!!!!!!!!!

UNE CONVENTION signée par AUCHAN.................

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Une convention « handicap et alternance » signée chez Auchan               

    

            07 / 01 / 2016
L’AGEFIPH et Auchan viennent de signer un accord ayant pour objectif de favoriser le recrutement et l’alternance des personnes handicapées. Il s’articule autour de deux projets ; le premier cible le public accueilli en établissement et service d'aide par le travail ou en entreprise adaptée, pour des postes d’employés libre-service.
 
Les candidats bénéficieront d’une intégration en magasin sous l’égide d’un tuteur et recevront une formation qualifiante de 13 mois visant le titre professionnel d’employé commercial en magasin. Le second vise les demandeurs d’emploi bénéficiant de l’obligation d’emploi  pour des postes dans les métiers de bouche.
Les candidats sélectionnés passeront des entretiens et des mises en situation réelle. Ils bénéficieront ensuite d’un encadrement et d’une formation interne à l’entreprise.
BRAVOOOOOOOOOOOOO

Un Retailtainement inédit.....

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Du retailtainment inédit au cœur de la Provence avec Alpha 2017 d’Immochan

DANIEL BICARD |  lsa
Publié le 07/01/2016
En plus des 160 magasins répartis sur deux niveaux (63 000 m² au total) constituant le pan commercial d’Alpha 2017 à Aubagne (13), Immochan, foncière du groupe Auchan créera une offre loisirs développée sur trois espaces thématisés. Recreation Square ménagera des terrains de jeux ; Creation Square sera tourné vers l’art de vivre en Provence, et Sensation Square conciliera les aires de repos et d’activités physiques. L’ouverture de cet ensemble est prévue pour 2019.
Imaginé et conçu par Immochan, la foncière du groupe Auchan, en collaboration avec le cabinet d’architectes BDP, Alpha 2017 promet d’offrir Imaginé et conçu par Immochan, la foncière du groupe Auchan, en collaboration avec le cabinet d’architectes BDP, Alpha 2017 promet d’offrir "l’expérience d’un circuit shopping incomparable coupléà des loisirs innovants, le tout à ciel ouvert". Ce concept de retailtainment développé sur trois espaces associera terrains de jeux, aires de repos et de loisirs, ateliers d’art de vivre et de création en Provence. Un nouveau style d’attraction qui entend rayonner jusqu’en Espagne et en Italie.© Immochan

Alpha 2017, le projet d’Immochan qui ouvrira ses portes près d’Aubagne (Bouches-du-Rhône) en 2019 entend marquer une étape décisive dans le développement du ‘‘retailtainment’’ en France. Soit l’addition des divertissements (entertainment) au ‘‘retail’’ en bon franglais. En effet, le seul contenu purement marchand ne suffit plus à justifier la création d’un centre de shopping aujourd’hui. Tous les professionnels de l’immobilier "de commerce" le savent désormais, et explorent de nouvelles voies dans les contenus loisirs de leurs projets. De Frey, développant un partenariat exclusif avec l'espagnol Dock 39, spécialiste du loisir-aventure ; à Apsys, dont l’une des locomotives ludiques du futur projet parisien Vill'up, à la Cité des Sciences de la Villette, sera le simulateur de chute libre iFly.

De quoi attirer des visiteurs italiens et espagnols

Imaginé et conçu par Immochan, la foncière du groupe Auchan, en collaboration avec le cabinet d’architectes BDP, Alpha 2017 fait la promesse d’offrir "l’expérience d’un circuit shopping incomparable coupléà des loisirs innovants, le tout à ciel ouvert". Placé sous le signe de l’émotion, ce projet proposera un parcours client inédit en France, "également destinéà attirer les visiteurs des autres pays de l’arc méditerranéen, comme l’Espagne ou l’Italie". Côté commerces les visiteurs trouveront 160 magasins répartis sur deux niveaux (soit quelque 63 000 m² au total). Le retailtainment sera développé sur trois espaces supplémentaires.

Trois Squares dédiés

Au sein du Recreation Square, les visiteurs accéderont à des terrains de jeux. Le Creation Square sera tourné vers l’art de vivre et de créer en Provence. Enfin, le Sensation Square privilégiera les espaces de repos (sieste, etc.) et de loisirs (saut à l’élastique, concert, etc.). De quoi rallier les habitants et des touristes, qui bénéficieront en plus de pôles de restauration et de 15 salles de cinéma ! L’ouverture de cet ensemble est donc annoncée pour 2019 – ce qui laisse préjuger d’un nouveau nom pour le projet - et s’adressera à 1,7 million d’habitants et à 9 millions de touristes autour d’Aubagne.

Une attraction provençale

Situéà seulement 5 minutes d’Aubagne à 15 minutes de Marseille, 45 minutes d’Aix-en-Provence et 2 heures de Nice, Alpha 2017 ambitionne "de faire entrer le retailtainment en France, en commençant par le coeur de la Provence". C’est le département Commerces de Cushman & Wakefield qui conseille Immochan dans la définition du plan merchandising et la commercialisation des moyennes surfaces d’Alpha 2017.

Génération Z : la définir et la manager

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Génération Z : la définir et la manager      

JDN
Nés à partir de 1995, les successeurs de la génération Y ne vont pas tarder à débouler dans les bureaux… et à chambouler pas mal d'habitudes.                        

 

Rythmes plus souples, hiérarchie pyramidale dynamitée, dématérialisation des postes... Les premiers Z nés en 1995 arrivent en stage et changent déjà les règles du jeu dans l'entreprise. Comment se préparer à les accueillir pour réussir à les intégrer ?

"Il vaut mieux leur donner des objectifs et les laisser travailler par eux-mêmes"

Règle numéro un : ne cherchez pas à les canaliser. Les jeunes issus de la génération Z ne supportent pas d'être marqués à la culotte par leur supérieur. Supérieur ? Un mot qui suscite l'hostilité chez eux : "Ils détestent la hiérarchie et les ordres : ce sont des free-lance nés", assure Eric Delcroix, conseil en entreprise, qui tient une revue de presse mondiale sur la génération Z, consultable sur son site. "Il vaut mieux leur donner des objectifs et les laisser travailler par eux-mêmes : vous verrez, ça marche !"

Alexandra Gaudin, DRH de l'agence de communication Australie, qui a signé quatre contrats professionnels de Z, confirme : "Ils sont dans l'attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi. Il faut les challenger en permanence pour ne pas les ennuyer !" Campagne d'affichage à gérer en un mois, opération de communication sur les réseaux sociaux à piloter pendant deux semaines... Ces responsabilités supplémentaires, perçues par les autres générations comme une surcharge de travail, sont très prisées par les Z, qui ont besoin de percevoir le cap de l'entreprise à court-terme.

"Ils sont dans l'attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi"

Certaines entreprises comme Google vont plus loin, en aménageant l'emploi du temps de leurs salariés. Nicolas Sadirac, directeur général de l'école 42, témoigne : "Un à deux jours par semaine, ils peuvent profiter des infrastructures et bénéficier du carnet d'adresses de Google, pour réaliser leur projet personnel." En clair, les sociétés qui développeront un incubateur en interne doperont massivement leur attractivité. Un bon moyen pour fidéliser dans l'entreprise cette génération sans attache, prompte à quitter le navire aux premiers ronrons.

Adapter complètement les rythmes de travail aux Z est l'autre difficile défi à relever pour les managers. Au travail, mais aussi chez eux, ils bousculent les heures de bureau en se connectant via leur tablette ou leur smartphone : "Ils sont beaucoup plus flexibles que leurs aînés, qui ont pris l'habitude de différencier la vie professionnelle de la sphère privée", constate Eric Delcroix. "Aux USA, les restos U sont désormais ouverts 24 heures sur 24 pour les accueillir !" Son conseil : développer un réseau social qui leur permet d’interagir entre eux et avec la direction quand ils le veulent en quelques clics. Le blogueur poursuit : "Nés avec le web 2.0, ils sont habitués à une grande réactivité et ne connaissent pas le formalisme des rapports hiérarchiques : s'adresser directement au patron de la société ne leur pose aucun problème."Les cadres sup' orgueilleux vont en prendre pour leur grade...

Mais pourquoi un tel besoin ? Les Z veulent du feed back. Finis les points mensuels ou hebdomadaires. La nouvelle génération a constamment besoin d'être rassurée, encouragée, sans être asphyxiée."Les retours peuvent durer de quelques minutes à une demi-heure : ils sont très sensibles aux prises de contact informelles dans la journée", explique Grégoire Buffet, fondateur du cabinet de recrutement H3O. L'attention qu'on leur porte permet de les aiguiller et doper leur motivation. Et pas besoin de prendre des pincettes si le retour est négatif. "Ils peuvent tout entendre et ne se braquent pas", témoigne Alexandra Gaudin. Les réseaux sociaux les ont habitués aux critiques parfois virulentes.

Selon Nicolas Sadirac, directeur dénéral de l'école 42,  la génération Z a "un rapport décomplexéà l'erreur". © 42 - William Beaucardet

Nicolas Sadirac abonde :"Ils ont un rapport décomplexéà l'erreur ! Pour eux, c'est normal de se tromper : ils ne diabolisent pas l'échec comme les autres générations." La plus grosse erreur pour un manager serait d'essayer de maquiller son incompétence en donnant une réponse erronée à une question posée. Fabienne Arata, directrice générale d'Experis IT, filiale de Manpower, a accueilli six stagiaires de l'école 42 : "Il ne faut pas avoir peur de dire je ne sais pas, plutôt que d'être pris en flagrant délit d'incompétence : ils vérifient tout sur le web et ne supportent pas l'imposture." Confiance et transparence sont les maîtres mots pour obtenir leur estime.

La transparence, un principe qui s'applique aussi pour la culture d'entreprise : les sociétés doivent maintenant dévoiler les coulisses de leurs bureaux pour espérer attirer les Z. L'agence de communication Australie l'a bien compris et s'est offert une vitrine sur le site Welcome to the jungle, une plateforme de recrutement qui développe la marque employeur. Interviews d'employés et photos des locaux leur permettent d'évaluer l'ambiance au boulot. "Les candidats de la génération Z font très attention à l'e-reputation d'une entreprise et collectent toutes les infos possibles sur internet pour évaluer les conditions de travail sur place", expose Alexandra Gaudin.

Aujourd'hui, offrir un bon salaire ne suffit plus pour être attractif : il faut également proposer un cadre de vie séduisant. "Ça peut sembler futile, mais de nombreux candidats sont attirés par notre grande terrasse et ses transats", ajoute Alexandra Gaudin. Et pour briser la routine au travail, les créateurs de l'agence Australie ont trouvé un truc : déménager régulièrement les services d'un étage à un autre, répartis sur sept niveaux. Un tour de passe-passe qui bouscule les points de repère des salariés et réintroduit de la nouveauté dans un espace souvent trop cloisonné.

Les sociétés doivent dévoiler les coulisses de leurs bureaux pour espérer attirer les Z

Dernier prérequis pour accueillir les Z : se mettre au diapason technologique."J'ai dû convaincre mon directeur des systèmes d'informations d'offrir à mes stagiaires un accès privilégié au réseau, pour accroître leur autonomie", raconte Fabienne Arata, d'Experis IT. "Et leurs ordinateurs m'ont coûté trois fois plus cher que les autres..." : quand ils arrivent en entreprise, les Z s'attendent à trouver le même matériel qu'à la maison. Tout retard technologique leur paraît invraisemblable. "Mais ça valait le coup : ils ont excellé dans leur projet et remotivé tout mon service, avec leur capacité virale à s'emparer de n'importe quel défi." Résultat, Fabienne Arata compte tous les embaucher au moins à temps partiel avant la fin de leur école... à moins qu'ils ne trouvent une meilleure offre. Fidéliser les zappeurs de la génération Z sera certainement le casse-tête le plus difficile à résoudre pour les DRH de demain.


L'intergénérationnel , levier de croissance inexploité

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L’intergénérationnel, levier de croissance inexploité           

Chronique de  Observatoire du Management InterGénérationnel   JDN
Beaucoup d’entreprises ignorent encore la question de l’intergénérationnel. Ou ne l’abordent que sous l’angle des générations, juniors et seniors, pour se conformer à la loi dite du contrat de génération.                        

 

Le management des âges est surtout évoqué comme un facteur de complexité supplémentaire alors que la connexion des générations, attendue des français, constitue un levier de croissance largement inexploité aujourd’hui. Facteur de cohésion sociale dans la société, le management intergénérationnel révèle des gisements de performance inattendus dans les organisations.

   

Nous appelons management intergénérationnel l’art de faire travailler ensemble les différentes générations en tirant le meilleur parti de leurs forces. Pour paraphraser Wikipedia, "L'intérêt du management intergénérationnel est d'étudier les risques de conflits entre générations différentes, les raisons qui expliquent les chocs de génération inter-groupes, et les mécanismes qui peuvent conduire à une meilleure compréhension et coopération entre les différentes parties impliquées". Surprise de découvrir une définition aussi synthétique de ce que recouvre un audit intergénérationnel !

Le grand tournant générationnel

 

Avec cinq millions de seniors qui vont quitter le marché du travail d’ici 2020 en France et six millions de jeunes qui vont y entrer (1), le remplacement des générations s’accélère à rythme qu’aucun DRH n’a jamais connu dans sa carrière.

Avec l’arrivée de la génération Z, quatre générations cohabitent aujourd’hui dans beaucoup d’entreprises. Cependant, malgré la belle intention du contrat de génération, "le simple regroupement de personnes originaires de différentes cultures ne suffit pas à créer des apprentissages interculturels. [...] L'apprentissage interculturel se produit lorsque surgissent des difficultés, des processus de différentiation, des antagonismes qui ne peuvent être perçus que progressivement et qui ne peuvent être surmontés qu'ensemble" (2).

Les conflits intergénérationnels pointent déjà

 

Alors que le management intergénérationnel permet d’intégrer des problématiques sociétales dans l’entreprise, pour redonner du sens, des conflits entre générations sont soulignés par 72 % des entreprises en France. Ceux-ci sont déjà sérieux dans une entreprise sur quinze (3). Il est temps de les déminer. Les raisons de ces conflits ont étéétudiées par l’OMIG (Observatoire du management intergénérationnel), ce qui permet de définir les grands axes d’une politique de management intergénérationnel. Trois fréquentes sources de conflits concernent la relation hiérarchique, le manque de reconnaissance et les différents rapports au temps des générations.

Les entreprises qui se sont attaquées à ces causes en 2014 semblent arriver à maîtriser le développement des conflits intergénérationnels en 2015. Malheureusement 45 % des entreprises, probablement celles qui ne savent pas comment appréhender le sujet, voient encore ces conflits augmenter (3).

 

 

 

Passer du management des générations au management intergénérationnel

Comme l’écrit Clair Michalon, à propose de l’interculturel (4), le management intergénérationnel ne consiste pas à aligner des stéréotypes sur les générations, mais à mettre en marche une dynamique fondée sur la diversité. A l’intérieur même d’une génération, il y a une immense différence entre un garçon, célibataire de 25 ans, issu "de la diversité" et une fille du même âge, diplômée d’une grande école payée par ses parents et déjà mariée.

Même si de plus en plus de cadres d’entreprise "ne comprennent pas" les générations Y ni Z, l’immense diversité des situations à l’intérieur de chaque classe d’âge appelle une réflexion plus large, intégrant à la fois ces interrogations et les changements extrêmement rapides de l’environnement.

 

La dernière enquête de l’Omig indique que 85 % des entreprises "gagneraient beaucoup en efficacité si elles connectaient mieux les générations". C’est un sujet de consensus dans l’entreprise qui devrait inciter les dirigeants à passer à l’acte, de manière proactive, ne serait-ce que pour renforcer la cohésion nécessaire pour affronter une concurrence devenue multiforme.

 

 

Le temps de l’ajustement culturel en équipe est venu

Avec le tournant générationnel et digital, c’est l’heure de la transformation par tous et pour tous. Comme le dit très bien Jeremy Rifkin, "si on ne comprend pas la puissance du pouvoir transversal, du partage, on ne saisit pas la rapidité de la transition dans laquelle nous entrons" (5).   En période de changement profond, comme un changement d’organisation, dans une équipe multi-générationnelle, ce qui est nouveau pour l’un ne l’est pas forcément pour l’autre. La découverte mutuelle des expériences de chacun, de l’histoire des autres, permet d’appréhender plus rapidement les bonnes pratiques pour aujourd’hui, et  encourage l’équipe toute entière à changer. Cela mérite de s’en donner le temps.

 

La folle pression du quotidien incite parfois à liquider les urgences avant de traiter l’important. Mais ce qui est important pour l’équipe ne peut être laisséà l’appréciation de chacun car, alors, la diversité ferait ses ravages. Un accord doit être trouvé sur les priorités communes et sur le mode de fonctionnement du groupe qui ne peut être défini qu’en commun ; pour qu’il soit respecté par toutes les générations, et sans qu’elles ne se le sentent imposé. Ceci se fait plus facilement en sortant du cadre habituel, en se mettant "au vert".

  

Sous la pression des évènements extérieurs, l’équipe est parfois amenée à faire ce que lui demande la hiérarchie avant ce qu’elle a choisi. Les équipes créatives et performantes sont laissées très autonomes pour définir leur programme de travail.

 

Conseils pour la route

Les managers dirigent des équipes de plus en plus diverses en termes de générations. Cette complexité supplémentaire pose des questions nouvelles et présente des opportunités.

 

Avec une équipe de direction que nous avons récemment accompagnée « au vert », le séminaire annuel sur le thème du management intergénérationnel a permis de trouver des pistes et de retenir des outils pour répondre aux attentes des salariés de toutes les générations. En matière de gestion du capital humain, son plan d’action intergénérationnel s’articule autour des bénéfices attendus pour :

     • attirer les talents,

• disposer des bons arguments lors du recrutement en fonction des situations de vie des candidats,

• devancer les attentes des collaborateurs,

• promouvoir les valeurs qui inspirent l’ensemble des générations pour élargir le champ de l’intérêt commun  Et mettre en place des process gagnant-gagnant entre générations comme le Reverse Mentoring pour partager des connaissances.

 

Dans cette entreprise, les 7 pistes retenues pour adapter la stratégie RH à la nouvelle donne générationnelle sont :   

- Sensibiliser et développer la compréhension des questions générationnelles avec la formation, l’organisation d’événements et la mise en réseau

- Affirmer  ce qui rassemble toutes les générations, ce que nous voulons tous et dont nous avons tous besoin quel que soit notre âge ou notre expérience : 

         -Respecter, valoriser et traiter les collaborateurs de manière juste et équitable, avec           dignité

         -Donner la possibilité de contribuer dans l’entreprise

         -Répondre au besoin d’appartenance et de connivence

         -Promouvoir le respect mutuel de toutes les générations en donnant l’exemple, par des           comportements de ‘Role Model’, et en sanctionnant les comportements irrespectueux.

- Organiser du Mentoring avec des mentors variés pour des situations variées et mettre en place un mentoring inversé (les plus jeunes ‘mentorent’ les aînés)

- Recruter des talents de toutes les générations

- Créer des occasions d’apprentissage pour tous, avec des investissements légers et judicieux (ex. autoriser le déplacement de juniors avec des seniors pour apprendre en binôme) pour construire une culture d’apprentissage mutuel en continu

- Faire preuve d’humour quand les écarts à combler sont manifestes

- Montrer ce que nous apprécions dans chaque génération ».

 

 

Quels seront les modes de livraison de demain????

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Quels seront les modes de livraison de demain ?    

       

Flore FauconnierJDN                Mis à jour le 07/01/16
Dépassé, le postier. Désuet, le point relais. Aux oubliettes, le click&collect. De nouveaux moyens de livraison sont déjà dans les cartons. Fast forward.                     
 

Les nouveaux modes de livraison se multiplient depuis deux ans. En particulier, depuis qu'Amazon a annoncé travailler sur les drones aériens, fin 2013, de nombreux transporteurs se sont approprié le même objectif. DHL, UPS, La Poste via sa filiale Geopost, les postes allemande, suisse et finlandaise… même Google planche sur le sujet dans le cadre de son Project Wing, tout comme Walmart et Alibaba.

Des obstacles techniques demeurent, tels que l'autonomie limitée des appareils (davantage de batterie signifie moins de charge transportable), les collisions àéviter ou le manque de précision du lieu d'atterrissage. En outre, l'actuel cadre légal constitue une véritable entrave, puisque dans de nombreux pays il interdit le vol de drones autonomes, sans pilotage direct par un opérateur humain. Enfin, le modèle économique, à l'opposé de la mutualisation habituellement nécessaire à la rentabilité des moyens de transport de colis, reste également à trouver.

Tout ceci conduit assez logiquement UPS à la perplexité et les postes européennes à imaginer des applications réservées à la livraison de zones difficiles d'accès. Cependant, Amazon continue d'envisager le drone comme un moyen de livraison pour tous, notamment parce qu'une grande majorité de ses colis ne dépassent pas 2,2kg. L'e-commerçant américain vient d'ailleurs de présenter le dernier modèle de ses drones Prime Air, capables de transporter des colis à 90km/h ans un rayon de 25km. Quant à l'e-commerçant chinois JD, il projette même de déployer 200 000 drones de livraison.

L'avenir n'est pas nécessairement dans les airs

Pendant que le secteur de l'e-commerce se demande si et quand les drones aériens vont révolutionner la livraison de colis, un drone d'une autre nature est en train de voir le jour à l'initiative de deux cofondateurs de Skype, Ahti Heinla et Janus Friis. Starship Technologies, leur start-up britannico-estonienne, conçoit un drone terrestre capable de livrer des courses alimentaires ou des petits colis au pied du domicile d'acheteurs urbains. Avec un avantage certain : il ne risque pas de tomber sur la tête de quelqu'un ou de faire exploser un avion.

Le scénario que les deux entrepreneurs imaginent est le suivant. Des "entrepôts portables" construits à partir de containers réaménagés seront dispersés dans la zone à couvrir, sur des parkings ou à côté de grandes surfaces. Le drone Starship sera chargé automatiquement puis cheminera sur les trottoirs à une vitesse maximale de 6,5km/h sur un rayon de 3,2km, pour livrer en moins d'une demi-heure une cargaison pesant jusqu'à 18kg. Une application mobile permettra à l'acheteur de suivre le trajet de son livreur sur roues puis d'en ouvrir le coffre. Pour arriver à bon port, le drone emploiera une carte haute résolution, un radar, une caméra (dissuadant aussi les vols), un micro et un haut-parleur pour interagir avec les passants, et pourra demander à un opérateur humain de reprendre le contrôle à distance.

Et si l'on imagine mal ces R2D2 de l'e-commerce se frayer un chemin boulevard Haussmann aux heures de pointe, ils pourraient en revanche prospérer dans des zones urbaines moins denses, comme les quartiers résidentiels, les campus universitaires ou les zones d'habitation protégées. Starship Technologies lancera dès ce printemps des pilotes à Greenwich, près de Londres, ainsi qu'aux Etats-Unis, avant un lancement commercial prévu pour 2017.

Tous l'écosystème s'y met

Plus proches de nous, d'autres modes de livraison s'apprêtent à bousculer les acteurs en place et à créer de nouvelles habitudes chez les consommateurs.

Par exemple, si Cityssimo de La Poste avait été un échec, on voit aujourd'hui revenir les consignes automatiques par la grande porte avec Abricolis du Polonais Inpost, Packcity de Neopost ID et Pickup Stations de Pickup Services. Des constructeurs automobiles s'essaient également à la livraison e-commerce en permettant aux livreurs de déposer les colis dans le coffre de voiture, à l'instar de Volvo en Suède ou d'Audi en partenariat avec DHL et Amazon en Allemagne.

A Munich, un livreur DHL dépose un colis Amazon.de dans le coffre de l'Audi d'un abonné Amazon Prime © Amazon

L'économie à la demande est elle-aussi appelée à la rescousse et un Uber, qui teste le transport de colis à New York via son service UberRush, bâtit une bonne partie de sa valorisation sur son potentiel dans la livraison e-commerce. Quant au crowdsourcing du dernier kilomètre, plusieurs start-up françaises marchent dans les pas de Postmates et d'Instacart, pendant que les Walmart, Starbucks et Amazon se frottent les mains d'avoir peut-être trouvé une solution rentable à la difficile équation de la livraison le jour-même.

Autrement dit, la livraison e-commerce n'est déjà plus l'apanage des acteurs spécialisés. Des start-up, des géants du Web et des retailers déploient des trésors d'imagination pour inventer les modes de livraison de demain… et n'hésitent plus à aller concurrencer les transporteurs sur leur propre terrain. En témoigne Amazon, en train de constituer sa propre flotte d'avions afin de pouvoir éviter le goulot d'étranglement d'UPS, incapable désormais d'assumer la croissance du leader mondial de la vente en ligne. Pour la société de Jeff Bezos, the sky is the limit...

Elue Présidente du FORCO ! bravo !!! Christine

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Les femmes prennent le POUVOIR !

Opca Forco : Formation Professionnelle. Opca du Commerce et de la Distribution

L’Opca Forco

Le Forco est l’Organisme Paritaire Collecteur Agréé (OPCA) du Commerce et de la Distribution. Agréé par l’Etat pour collecter les fonds de la formation professionnelle, le Forco a été désigné par 14 branches professionnelles pour être leur partenaire emploi-formation.

 

  • BRAVOOOOOOO

                                                                                                                       Félicitations CHRISTINE

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Christine Courbotélue Présidente du FORCO !

du collège salariés

Secrétaire du CCE Auchan France,

Vice Présidente de la Fédération de la CSFV

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La CFTC toujours à la pointe de la formation professionnelle et de l'employabilité de tous ! Sincères félicitations !

 

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Emmanuelle DUEZ :le luxe d'être soi

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Emmanuelle DUEZ  'Start -uppeuse' :  THE BOSON PROJECT 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les 3 caractéristiques de la Génération y

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Témoignage d' Emmanuelle Duez-  Les 3 caractéristiques de la Génération Y  

 

 

 

 

 

 

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